Je suis maintenant sur tumblr : tumblr.com/blog/mrcaptainmatt read you there..
captainmatt
Les Mots pour me Dire, avec un sucre d'orge délicieux en prime.
Les Attentions de l'Autre.
Vous.
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Il y en a certains qui say..
Ces putains, elles ne savent pas où elles mettent les pieds..
They say it for nothing.
And what have you got if you goot nothing ?.
Des pommes empoisonnées.?.
Les putes, elles marchent le long des rues de ma vie..
Elles se demandent m^me pas pourquoi.
Translation.
Objectif vide, vide même de sens.. comme leur vie ..décadienne.
Plaisir d'une truite..
FFolie d'un moment de détente. D'orgasme inabouti . Fi de ces anicroches.
Les sérénades de naguère.
Les embrassades phylactères
Ont des avant-goût d'éphémère.
Just a sight on the roof..
and nothing.
De toutezs façoàns, je ne suis qu'un hommme. Il épousseta sa revers d'épaules. Le truc jaune augmentais en volume. Ca n'avait qommencé que la veille.. une veille.L Ca faiçsait des mois, le truc était là.
D'ordinaire, ce gen,re de truc, ca ne vient que pas par hasard, c'est blanc et ça tombe ezn flocons.. >Mais là.. L'hécatombe ! Alors, je ne savais pas.. Et c'était bien commem ça. C'était le soir que ça s'était vu, à la télévision ; devant tout le monde avec les caméra en plus.. MERDE !!
Et rezut ! Ca va se voir, et ce truc.. nom de nom..?!! Ca vient d'où. Me... et si ça revenait.?
Heureusement, Sarkozy n'azvait reiçn vu, ou n'avait fait semblant de rien voir, occupé qu'il était à convaincre le pays qu'il était l'homme providentiel..comme si on n'avait pas remarqué qu'il étaiot là déjà depuis cinq ans..
Et lui qui avait si bien préparé son discours, son azllocution, ses questions/répoçnses, fort de prter le sort de la France peut-être même du monde à bout de bras, pendant une heure, occupé à regarder le truc jaune sur la veste...
Aïe.!!!.
Bnjour, géant g.
Terminal de paiement: gardanne. Geste : du doigt ; festival dddessans-souci Descentede lit. espacesvides aux allures de vibrant hommage.. Deliquescente enbvie de zarreter.. bref,enviederien..
Besoine rien envie de toi,ahah !!
Eh oui, la vie,l'amour,les femmes et.. surtout le besoin desentir lachaleur qui réchauffe notre pô.. Mais oui Et les hippoppotames de l'ancien régime n'avaientpasl'air plus moches que ceux de maintenant. .De toute la candeur de sapetite mine,elle m'a ENSORCEL2 5(!!)
Elle mp'aendsorcelé!!
Come back bab !!
Laconnerie festoie l'hiver, elle dort dans mon lit et me borde tellement elle est con. De toutes les façons, elle m'assaille,me protège et me détend. De toutes les façons, elle me prend. Elle me vrend.Elle m'agonise. Elle est tellement belle. Et c'est pas au fdemeurant ce que j'attendais d'elle.. Ellez m'hallucine. Ce qu'elle peut me séduire..
Si d'aventure ,je me laissais errer par les chemins buissonniers, j'étonnerais qu'zelle ne soit pas là,au détours d'un chemin à m'attendre , espiègle, les bras ouverts,les mains jointes et les paupières closes.. Sur chaque rebond de la route se meurent le soubresauts cantarides d'une poule qui sent son oeuf se dformer. Une poule blanche et rosée.Rosée du soir, pourtant cx'est un bel après-midi de septembre.Une folie,la route. J'ai plus de vclopes et hop ! Gargantuesque apétit. Meurt mon silence. Lance ta jambe et bats la. Grenouilles irridescents qui s'étyincellent et s'alluminent. J'y suis, sur la route. Faire la pute, j'y pense..et chaque pas m'en éloigne. Je sens le vent dans les narines de mes cheveux. Je biche.
Flêche de velours , je cours après le vlang d'une porte qui s'ouvre et se refermera sur moi. Je compte le non-chiffres des kilomètres qui me séparent de mon point de départ juusqu"à vêtre nulle part, le plus loin possiblede moi point de départ, le plus perdu possible.Possibile.
Des affaieres en cours, je n'en ai plus l-heur. Daes affaires a venoir, je ne peux que le sentir; je mens; je ne mens pas.Set un plyus lointain si long silence que je ne peux qu'assouvir. Que sentir. Le slence de ma vie. Le silence de tous les temps.Le silennce d'une route.
Désolé d'être rentré trop tard, je n'ai pas le blues ,mais j'ai peur jeserai...
Tu peux préparer le café..noir
L'oubli grandissant, la poitrine parsementée, veineuse, je me ballabais d'un air absent entre les extrèmes de l'aventure aventureuse.L'âge n'aidat pas, e ne m'aidait pas, l'étais-je assez ?, faire de l'un l'autre et par inverse les mots se ballançat au sortir d'une liane, e dodelinais et me disais. Dieu,par ces contreforts , je m'aveturais, au sortir d'un nain, un grand, un beau, un fort.. Enfin, l'un d'eux en somme..
Certes pusillanime mais bien certain d'être vivant, je me demandais, me demandais-je mais je me demanderai touours..
Est-elle là ? Enfin, encore, touours..
Déà ressenti,présenti comme l'un des arts ..
Des arts, beau, enfin..
Qu'est-ce ?
Les arts des arts, l'un d'entre eux, la philosophie en somme, quoi ??
La philosophie me nomme mais,quoi ? Des nains touours .. Des jeunes nains des petits nains, quoi.. Comme j'entends l'autre dire,Mimi Mathy à ses débuts, quoi .(?).
Sa mise à deux balles, sa mise à l'envers, d'une hécatombe commeça, elle me dit: t'assures ! Alors,je l'aime . Et le ledemain,elle medit t'assure pas alors je la garde prèsde moi, sur mon coeur et je la hais.. Efin,je l'ai..je ne me pose même pas la question. je veux dire :je l'ai !!(?!!). Efin, c'est elle quoi..
Mais bon,pas la peine d'en faire trop, quoi, elle me dit je t'aime et je pars, quoi..
Déjà tiré du lit.. ben oi, et alors. La folie s'emparait de moi lorsque je me lavait trop avant.. Femme, lui dis-je, ferme ce peignoir je ne saurait te voir.. Nue !?! Ne , nudité, nue. A poil ben,quoi.
Cette fois, je m'étais bien fait tirer les oreilles pâr le curé du canton, ce petit trou duc. Fête à la gernouille. Gernica était là aussi. Du fin fond de ses yex, je tirai le fin duvet qi me revêtait ce matn là. La folie s'emparait de moi. Elle nue, moi en fin duvet et le petit canard des WC qui n'était plus à sa place.. Autant de possibilités qui me venaient à la tête. Je voyais le canard.. je voyais le canard.
Et soudain, ploum, tout s'évanoissait et redevenait comme avat.. Gris rose et épars..
Dans ma tête,, comme ailleurs, quuelqu'un chantait : il y a de la gimauve qui traîne dans le flot de ses menstruations. Period ! S'exclama l'arbitre. C'était fini. Je savais.
Alors, partout ailleurs, le dentifrice s'étalait en corolles le long de l'évier.
Décidément, je pars. Foutaises de tout cela, je pars. Comme si l'un des deux l'avait; je sais !!; maintanant je sais et j'aime. 'aime cela plus qe tot au monde. Gagnées les sourires, les envies les jors de'un prochain paté de maoison , e sais et j'exégète. Je pars, point.
Tu sais tot celà, toi qui marche, toi qi pars sas rien laiser, sans rien partir , sans rien tarser .. l'n laiutre sans rien laisser, sans riebn partir sans rien plerer, même si l'a utre n'est rien.. je syis cela qui partent. Nul n'y pet rien.
Fais comme tu veux, mon grand, cela ne t'oblige pas a partir ni a rester.. Cela t'oblige être sans rien demander, sans rien voulior , sans autodafé. Déj, j'ai la hainer de toi et cela n'est pas près de s'arranger. Foutaisses, dit l'autre, jae ne sais pas mooi, je ne sais paas cje vous jure.. Pas question d'zaller plus loin ensemble. Le bout de la rourte est si proche !! Mais ,je le voyais !!!!
Déj ,je vois plus clair dans vos agissements, et si es les longs si ongs silences m'écoutent, alors, peut - être, a bout du chemin..
Mais c'était l et vois !! Finalement, finalement , je suis con et l'aventure est toujuors a bout de la route..