La vie, la fin est, sont tentantes. Les tentatives d'orgasmes pathétiques sont bien loin et passent au rang de flashs. "Tiens, j'en aurais bien eu un là..." Juste fantasmés.
J'ai un petit temps d'amusement losque je contemple les filles, absorbées par la chose sexuelle et ce qui peut bien s'y faire, sans parler des mecs, absorbés par elles. Je me sens un peu en dehors; et même, je ne veux pas y participer. C'est pas pour moi, ça. Qu'il y ait une guerre des sexe et je me fais de la force d'intervention pacifiste. J'ai un sexe, pourtant. Il marche. Il a toujours tenu son rôle. Mais en dehors, pour l'instant, tout du moins. Y'en a tellement, du sexe, partout. Faîtes votre choix, je ne suis pour rien là dedans. Tout est vu et revu. Tout a été fait. Y'a qu'à choisir...( si,si,y'a des films. ).
Moi, j'fais partie de la génération qui est revenue de tout ça. J'ai trouvé mon truc; il est en moi. Je le découvre et le redécouvre sans cesse. Ca me va. Il est à moi et je le partage sans cesse. J'ai faim de ça, d'une faim discrète qui ne s'impose pas. Ca ne sent pas le sperme ! Ni la lingerie froissée.
Le problème, c'est que tout ça passe par le visuel. Voyeurisme effréné.
Je me mens si la machine passe par là.
Jouissez !