Facile ou pas, en touka, je ne sais pas.. Et même, et même, ah!, si je savais.. Ah Ah aah!!..
Il n'y a rien qui compte au monde..Rien.. Où qu'on se tourne, nib, nacash!!.. J'ai tout ess..tenté, devrais-je.., de la morve d'un p'tit nez.. Nib.. Partout ailleurs..
Rien, que toi, rien,.. Trouvé ! C'est comme une pression avec un peu de picon, c'est tout !! hein !! Toi, t'es comme le picon dans le fond de mon verre, voilà.. Ou comme un air de jazz..un air du temps.. Pour un court instant..
Femme !! Je t'.. <3 .. Femme !! Je te hais.. Non !!.. prq? Femmmmmee.. Bof !! Femme !!.. Ahhh Femme !!!
Dans le dédale hallucinatoire de cette ville mortifère où je glande, je me demande, comme l'air d'une ancienne chanson, où sont les femmes ? Les femmes ?! Beuhh!!.. Là ! Mais où ?.. Kalékaléïdoscope de couleurs de sons et d'odeur de leur sexe pâle et froid.. Gnack hi !! Je ris. Mais les femmes, les vraies, elles courent .. On ne les voit jamais. Elles jouent. Elles se repassent des trucs en souriant d'un air entendu et elles dise,nt : C'est bien. Elles disent : c'est bien.
Et toi, tu t'en fous ? Mais, t'es qui , toi ? T'es qui pour connaître la souffrance des femmes ? Tu les as vues, tu les a entendu, et alors. ?? T'es qui pour savoir ce qu'elles ressentent dans leur chair, dans leur corps ?.. T'es qui ?
Moi, je suis moi, je répond en allumant ma cigarette d'une allumette, en me rendant bien compte que je ne suis qu'un être inférieur et que je revendique, ce faisant un certain égoïsme congénital. Tu n'es qu'un sale profiteur, comme les autres. La preuve : tu attends qu'on te donne.. Eh bien, on ne te donne pas, pas plus qu'aux autres.. Voilà, vous allez vous.. Ohh, VOUS !!!!....
Mais,..