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  • : Le blog de captainmatt
  • : Une flèche plantée dans l'oeil de l'intolérance.
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Aimez-vous bien.


La Force des mots est telle qu'elle défrise la Mort, malheureusement elle n'est pas assez Puissante pour modifier la Vie.




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" Bien que Le blog de captainmatt soit signé Captainmatt, on a du mal à croire qu une telle merveille puisse être le produit du travail d'une seule et même personne, tant ce blog est riche, complexe, troublant comme un impromptu de Schubert. Je ne doute pas que Le blog de captainmatt soit dédié aux internautes les plus intelligents, exigeants. Comme diraient les écossais : A masterpiece ! " signé lisabuz
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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 09:25

Descente de lit, Qu'est-ce que signifie achalandé ? Je m'étire et viens là.. Fissa, .. les lions de l'ancien régime ne sont pas descendus dans la rue et je rigole. Xapatan m'attend là-bas. Déjà, je ris et je pleure devant cette faculté de ne pas me souvenir des choses du quotidien. D'outre-tombe, c'est de là que je viens. Désormais, la chance me sourira, et je pointe et je cours et je ris et je pète. Les ombres au dedans demon cerveau ne flottent plus qu'au sortir des bulles d'argent, j'ai faim et j'ai mangé. Les journeaux me racontent l'histoire de ma vie et je leslis.C'est la quète d'un nouveau paradis où les bulles d'amour n'en racontent pas plus aux indiscrets qu'aux autres.Ces ignorants de la vie qui ne s'étonnent plus de ne pas savoir, de ne pas comprendre, de ne pas être, de ne pas raconter. Cest celà, oui, ne pas raconter..

 

Déjà, sur les feuilles d'acier meurent les cantarides, laissant au monde dépeuplé leurs antennes s'agiter, qu'elle était dure cette vie et long, si long le silence, alangui. Je fuis pour ça. Je suis là.

Ce n'est qu'à Marseille ou Paris que l'on voit ça. Des jambons-beurre qui se battent avec des accents chantants pour le plaisir de deux ou trois cornichons. La Force, oui, la force s'étire et se pare de toute vertu en dansant des airs de Carmagnole. J'ai bouffé toute ma tisane et j'ai peur.

J'ai peur de vieillir d'une seule traite en me réveilllant un beau matin en bas du jardin de ma mère et de découvrir de soleil dévoilant mes premières rides et entendre le chant des cuillers qui, régulières me disent tout bas: "ce n'est plus toi." et c'est ça. J'ai cru entendre la sonnerie du réveil me dire tout bas : "Ce n'est pas ça !". Avais-je bien dormi ?

La vie est là, autour, tout bas. Elle grignote pasà pas le temps parcouru d'une liane à l'autre et c'est donc ça, L'Amercica.

Je ne suis rien, Aimez-moi !

 

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