Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog de captainmatt
  • : Une flèche plantée dans l'oeil de l'intolérance.
  • Contact

Aimez-vous bien.


La Force des mots est telle qu'elle défrise la Mort, malheureusement elle n'est pas assez Puissante pour modifier la Vie.




------------------------------------------------
" Bien que Le blog de captainmatt soit signé Captainmatt, on a du mal à croire qu une telle merveille puisse être le produit du travail d'une seule et même personne, tant ce blog est riche, complexe, troublant comme un impromptu de Schubert. Je ne doute pas que Le blog de captainmatt soit dédié aux internautes les plus intelligents, exigeants. Comme diraient les écossais : A masterpiece ! " signé lisabuz
http://blog.lisabuzz.com</a>----------


Recherche

Archives

29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 05:34

Gérard, ammbitionnaoire à plein temps, désormais ruséparmi les sioux, achille comme un apache et rasé de près de bon matin, suggestionnait au papa de ce canton l'avis indicatorial de selon lequel la main mise des indiens sur le stock de munitions pourrait nuir a long terme à l'arrivée de la diligence mardi matin, avec l'arrivée du petit prince, son père, qui êtes aux cieux, le gros vilain méchant matou ici qui n'a tu nvu et idem ex-aequo sobite csonate ding dong alleluia..ah ah..
Geraldine, soubrete a bar-le-hu, mise, cenft fois mise, désormais dénivellée au plein pot d'une vie infernale en temps d'attente entre: deux champoings entre deux clients, entre deux cycles ou périodes menstruelle, je sais plus trop bien quoi d'abord, enfin, c'est ceci cela après tout tantr font un fsans que deux n'en faurt, a combien quoi t'est-ce et vivendi multinationnale bibenduum michelin, j'en passe et tutti quanti, mais c'est ta mère qui tient les comptes après tout alors merde..
Gerard et Geraldine formaient ainsi une équipe très soudée, si soudée que bien temps dieu que peut s'en faut, ils se rencontrèrent sur un nabil à pendule a peine lisible et dur a croiree. Et tantet si bizen qu'un efnfant naquit de cette union naissante et en laquelle on ne devait croire que très difficilement, après tourt c'était l'automne.
Un automne où il faisait beau, une saison qui n'existe que deans le nord de l'Amerfric. Après tout, c'était l'hiver.
Et les nues des chrysalides donnaient leur langue au chat dans le cul de ma belle mère. Accroche toi au rideau, ca grimpe.
Sous sa jupe menue frotti, ma soeur regardait la lampe. Elle avait mal aux genoux. Elle lorgnait depuis l'échaffeau jusques au lavoir où Geraldine avait mise sa liquette a laver, souillée qu'elle était par les relands de la scène primitive. Gerard ne bronchait pas. Il est vrai qu'un ambitionnaire à plein temps ne bronche pas beaucoup, exepté dans ses orgies estivales là où le vin le champagne et les femmes coulent à flot quand on sort d'une partie de poker pour replonger dans une autre, on se demande même si le champomy n'a pas été inventé pour ça. Aucun rapport avec les indiens, là. Géraldine, elle, ne les aurait plus ses indiens pour quelques mois au moins, dix pour être précis car le petit était du genre lent, déjà là, ça se remarquait.
Ainsi naquit Adrien, un lundi soir vers dix-neuf heures et avec lui , c'était de fraiches lampées d'air pur a portée de leurs orifices sosenriels quand l'air et l'atmosphèere autour sont comme quand on sort des toilettes et que l'Air-Wick se dilue dans les odeurs de rosbeef tiede de graillon et de tarte aux mirtylles qui sort du frgo quand on est sortie de table pour faire une place au dessert. Adien est tétel. Pas lu beaucoup, moi, relu seulement, je suis gentil je vous aime.
Partager sur Facebook

Partager cet article
Repost0

commentaires