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  • : Le blog de captainmatt
  • : Une flèche plantée dans l'oeil de l'intolérance.
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La Force des mots est telle qu'elle défrise la Mort, malheureusement elle n'est pas assez Puissante pour modifier la Vie.




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" Bien que Le blog de captainmatt soit signé Captainmatt, on a du mal à croire qu une telle merveille puisse être le produit du travail d'une seule et même personne, tant ce blog est riche, complexe, troublant comme un impromptu de Schubert. Je ne doute pas que Le blog de captainmatt soit dédié aux internautes les plus intelligents, exigeants. Comme diraient les écossais : A masterpiece ! " signé lisabuz
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16 octobre 2011 7 16 /10 /octobre /2011 10:47

Sa mère est parmi nous, elle hante les quartier sous le double nom démoniaque d'iduane et d'obscondre, la traduction varie selon les texte.. Mais une mère, ça hante. Il manque un double mot, à sa queue et à sqon nombre. A chiffre de certains aussi, duquel elle se comptait. Mais la puis long s'en lasse où bien. Faîtes que cette damoiselle aille aussi bien lorsqu'il la verra, au sortir du lit, au sortir du nid, a languiissant orage qui pépare autre chose que l'averse qui prénude et nidifie. Comme l'ornithaurinque qui se prélasse aux babines de certains, comme l'autre là-basz en dedans les dehors bien effacés. Et de torner, tourner, la ci-dans les dedans les nouveaux-nés, les babies, les amis d'un jour , les silencieux dehors hébètés de solitude extrnale en silence demeurés,k e, appui dénoncés, en langoureux abris d'obsidienne trouble en faisceaux d'étoile déchirés par l'appui porté à des tiers qui se foutaient du quart d'heure de solitude de tout un chacun dans sa salle de bain, par l'apuui donné à descates dans sa diatribe contre le snobisme du peuple et sa hautaine demeurtre en-soleillé par la mer qui done à voir et àpenser, hé, appuyé sur un parachute doré, je pense donc j'essuie, suivant le cours de la laborieuse appuyée à des pensées troubles, des pensées d'obsidienne délanguie, asseulle, écornée, au delà de tout possible A BOIRE,Aubergiste? J'ai soif, elle est seule enfin, dans une forêt pâle, en bas noirs, sûrement. Petite fille aux idées blanches et à la jupe culotte fendue qui délite et semble renfermer dans son cercle plus d'un luron, plus d'une quiche, plus d'un genou.

Elle n'a dit mot, mais elle y pense quand vient le soir, quand elle se dénude et sent la brise lui coller aux sous-corps au sancti corpus et qu'elle s'affalle avec délice sur des coussins brodés fushias qui dénote avec un intérieur plutôt sobre, au demeurant. Ar'f, que dire, que c'est lma perle noire parmi toutes les perles de nâcre, qu'elle endscurcit ce qu'elle touche du regard, si bon et envoûtant de vanité glacée perlant des myriades d'obscure flenteur épaissie par des années de glampîssante sanité-J'excuse- et c'est laborieuse qu'elle se trouve au sein de cette  quiryelle d'âmes ensemancées sous ses volontés propres, à qui sait la chercher. Elle se galvanise de tous ces chambards et se dit en son fopr intérieur qu'elle doit y être, mais pas seule. Elle a part et fort à faire et mille affaires. Elle décide de rester. Elle ne me doit rien, elle décide de ne rien dire. Elle ne veut pas y être pour quelque chose et elle n'y est pas. Elle rete sur son dou-bi-dou-bi-dou. Elle court chercher du beurre au supa du coin pour la sauce gribiche, c'est tout.

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