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  • : Le blog de captainmatt
  • : Une flèche plantée dans l'oeil de l'intolérance.
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La Force des mots est telle qu'elle défrise la Mort, malheureusement elle n'est pas assez Puissante pour modifier la Vie.




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" Bien que Le blog de captainmatt soit signé Captainmatt, on a du mal à croire qu une telle merveille puisse être le produit du travail d'une seule et même personne, tant ce blog est riche, complexe, troublant comme un impromptu de Schubert. Je ne doute pas que Le blog de captainmatt soit dédié aux internautes les plus intelligents, exigeants. Comme diraient les écossais : A masterpiece ! " signé lisabuz
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16 octobre 2011 7 16 /10 /octobre /2011 10:10

Bien le bonjour, vous les terriens !  En vue sur une tentative d'approche de le recruidessence d'une certtaine pureté, je me toise. Et devinez ce que je découvre ? Que le cruidessen,ce de mes atours se fluidifie à mesure que le temps passe, que je deviens plus moins. Cette équivalence du positif dans ma vie avec le négatif de la mort des autres me confine dans une certitude : j'existe bel et bien.

Non pas que ce plus ne se conjugue avec, double négation conjointez, chère à nos FREFREFREFRE;;d'accord je le fais pas...je ne sais.. c'est ce que l'appui de cette rosée du matin qui lambine sur les feuilles de pétale engorcits encauristes suir les étangs, la nuit se perd dans un négatif qui ne devrait faire qu'assombrir ma vie si dès lors et tant que je ne puissâsse en faire un atout. Or ,elle est morte la rose d'or , au jardin du bon dieu. Ohh, Dieu !!!

Prenez donc pitié de votre frère pâle et froid dans la brûme du matin. IIl vit donc, or§§

Et si la rosée de femme en frère, laongsinent, proche réchauffant, esthète donc, lors d'un sentiment, si pur, si pâle si fraternel et si plat, comme la poitrine d'un enfant, l'ornement magistral de sa précocité soudaine et lasse de vivre, lasse d'être au sien les pour seul, lasse d'entendre si bien les vide , les blancs de l'existence, les pmoments si doux où la vie ne chante pas, mais qu'elle réfléchît à ce qu'elle aurait pût être, en un autre lieu un autre temps, au si longs, si longs espaces- Temps, au delà, tojuors plus loin , lorsqu'elle chantait, lorsqu'elle mimait la vie et ne la vivait pas, lorsqu'elle disait à tout le monde, "Allez donc, Entrez dans le grand jeu et ne prenez pas, oh ne prenez pas plus que votre dû." " Il est là, il danse à force de chanter." et il prend les vides de l'existence pour les donner à des autres qui s'en foutent, qui ne le regardent même pas qui dansent et qui donnent, tour à tour des coups de baton aux pauvres ou à leur riche idée, qui sampanulent en pleurant leur vie entière sur des lits d'infortune, brodés d'or et de serments, qui donnent à une fille l'ombre d'un regard qui leur a dévoilé leur beauté et qui danse et qui rit et qui voeulent la vie profonde de ceux qui n'ont pas peu  rire ou qui savent où bien être, où bien être, peut-être.. Et c'est là.

Cette femme, dis-je viendra déclore leurs yeux épars sur ce qui reste de leur beauté cachée, sur ce qui reste de leur virginité, sur ce qui reste de leurs habits habités et mornes et gris, habits dee tous les jours, pour aller à la pêche ou au travail,ou aux champs, tout simplement, pour partir d'une souris et voir la mer sous le pas d'un éléphant. Aïe !! Lauburn pure, celle qui se cache à la vie ne se plaint pas aux passants. Elle émet aux courageux et aux pauvres, frêres d'infortune, amis de la tempète et sous-quotidiens libertaires qui emplissent la parsementerie, là où elle est, là où elle part, ce que dnne, là, elle ne le donne pas aux pauvres hères. Elle le pose et l'ornente de mille et une fleurs de joie données aux regards pour' le meilleur, pour le RIRE, pour la vie, en somme. D'amour, point là.

Et c'est comme ça que j'ai donné ma femme à un chwal.

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