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  • : Le blog de captainmatt
  • : Une flèche plantée dans l'oeil de l'intolérance.
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La Force des mots est telle qu'elle défrise la Mort, malheureusement elle n'est pas assez Puissante pour modifier la Vie.




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" Bien que Le blog de captainmatt soit signé Captainmatt, on a du mal à croire qu une telle merveille puisse être le produit du travail d'une seule et même personne, tant ce blog est riche, complexe, troublant comme un impromptu de Schubert. Je ne doute pas que Le blog de captainmatt soit dédié aux internautes les plus intelligents, exigeants. Comme diraient les écossais : A masterpiece ! " signé lisabuz
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10 août 2011 3 10 /08 /août /2011 15:11

Je suis vaivante, s'écria-t'elle ! Dans sa maison, le petit écureuil place le chocolat des le papier allu. Gamineries, s'écrient les belettes ses voisines. Il  a quelqu'un qui a couché dans mon lit, se dit-il. Germinal, répondent les jeans. Festoiement d'invités insomniacs à la mort-moi le noeud. Sa mère  n'a pas youché à un homme depuis deux ans, uniquement par crunchage. C'est l'automne, une saison où il est censé faire beau. Dégazage sauvage. Futilités d'enfant trop sage.. Des folies se perdent des braches à la cîme des arbres en fleurs. Guerroiement d'invités. Du sac à dos au milieu d'un ressac, les libellules cantarides veulent à tout prix ssemer d'un bas nylon la fièvre quand vient au rivage le soir , la moiteur et l'amertume. Fête de libellule, fièvre de noir, envie d'un soir. Doucement, se regardent les mirlitons entre eux  et ci on faisait des verts. Des rouges et des bleus ce soir. Si on faisait l'envie qu'on a, de passer de l'autre côté du miroir et regarder o se trouve l'idiomatique folie, la veine décerebrée dont tous les hommes se fondent en plein dans le mille. Fête aussi d'invités îvre de cette folie pure, enfantée par la folie elle-même. Des souvent, pas sage , des animaux près, des anomaux loin des guitarres des cigales cantarides où se trouvent l'envie et la folie. Dans ces eaux peu profondes, ne s'étanchent aucune soif et nie le petit gendarme, aucune passion. Loin s'en faut . Gerre d'étrangers. Faim de pourcaux. Finalisation : Aucune raison. J'ai longtemps désiré la petite. J'ai explosé la grande. Passion d'un soir, folie douce. Les coups de butoir de cette hommelette ne s'arrangent pas au sortir de lendemains torrides.  Femme par passion, mère par obligation , seur si l'adorée d'un soir a daigné vous répondre,.. Gazette signant d'un râle vengeur l'ignorée d'un soir, la vendetta profonde, le signal revendicateur, la finalité finalisante de cet homme là. Je ne suis pas de ce bois là, je ne suis pas en bois, je souffre de ce dont vous souffrez là, je suis un peuplier, ventripotant et fait meuh-meuh. Guette a l'orée, décide at the edge, pense souffrir et suouffre que ta pensée ne puisse accèder à son armoire..qu'elle se remeurrevivre en dépit de la mort, si ce n'est que celà te rendra chèvre et sans idée préconcue, s'entend. Je passe de l'autre côté, pour une fois. Je sors de ce côté et je marque ces remords abvec le sceau de la gloire et non pas celiu de l'igonminie. Il est mort le petit homme au cheveux gris, se dit le petit écureuil, il a vécu pourtant, du haut de son mètre soixante dix hhuit, il sourie désormais sans fausse bonne raison, qu'il sache que je l'aime et que si je ne peucx pas le trouver . quoi qu'il en soit je le trouverais néanmoins.en moins, je suis en homme, toiz aussi, non ? Cette étampe me regarde. Elle me truve beau dans mon short en jean qui n'a plus d'âge, qui n'a plus de prix, ni de couleur. Dance, dance, autour de la terre et marche au soleil, mange une cômette et lit sur la Eiffel Turm de ta vie. Les déjeuners est froid, nevertheless.. Il ne peut plus dancer, petit écureuil, tourne boule loin de ton sac ami, ton sac amant ton sac aimé et mes petirts doigts de pieds se détendornt ils se feront paix et éluderont le paon souverain Personne n'a mangé ici, personne ne mangera non plus, là-bas. Je ne suis pas un camembert coeur de lion, je ne suis qu'un homme. NT

 

 

 

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