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  • : Le blog de captainmatt
  • : Une flèche plantée dans l'oeil de l'intolérance.
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Aimez-vous bien.


La Force des mots est telle qu'elle défrise la Mort, malheureusement elle n'est pas assez Puissante pour modifier la Vie.




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" Bien que Le blog de captainmatt soit signé Captainmatt, on a du mal à croire qu une telle merveille puisse être le produit du travail d'une seule et même personne, tant ce blog est riche, complexe, troublant comme un impromptu de Schubert. Je ne doute pas que Le blog de captainmatt soit dédié aux internautes les plus intelligents, exigeants. Comme diraient les écossais : A masterpiece ! " signé lisabuz
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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 03:33

Bijour, les gens; le cirque est sur le point de se lancer.. Flêche d'amour dans le coeur de la cible.. Tu cours et tu perds gagnes.. L'équilibriste est là, bien sûr avec son cortège d'expressioons usagées, ressassées et vues, déjà vues et revues.. Carry on et tiens le bon bout.. Tu n'es pas loin de la fin.. pièce de pizza rejoignie par léonardo, raphhaëllo et da vinci code, pas loin..

Finalement le code n'était pas si compliqué à trouver : deux tours à droite, un à gauche et vlan patatra.. le but étaila.. Etale toi..

 Du pied d'une femme, je suis là et je cours..

Du pied d'une femme, je m'ennivre ..

Du pied d'une femme, je m'extasie..

Sur le pied d'une femme, je vis en reclus..

livré à moi-même, allant juste sur e-Bay de temps à autres pour prendre la température..

Cache moi ta joie, ma petite louloute..

Si c'est un homme, du moins, je ne suis pas une femme..

La femme à moi n'est pas là où on l'attend..

 On n'attend pas les femmes par là où elles arrivent.. La mienne est venue d'un matin de pluie. Elle m'attendait à la sortie du car.. Elle était belle. Juste pour mouoi..

Elle était belle.Les femmmes, c'est le pied..

 

Si cette petite friponne, coccinelle aux points de saleté derrière les oreilles, n'était pas camée jusqu'aux yeux de derrière, je ne comprends pas.. En tout cas, c'était le pied..

Bon.. hmmff !!

Crache ta cigarette et cache ta joie..

 Cette petite louloute, je l'AIME..

Sa langue, je l'aime, sa bouche, je l'aime..quand elle dit des mots d'amour..

Cette a dire tout le temps..

Cet automne, je ne parlerais pas.. je mangerais les paroles qu'elle m'a dites et je les ressortirrais de mon esprit pour les ravaler et les digérer encre et encore..

Cet automne, je ne sortirais pas, par respect pour ce souvenir, le souvenir de nous..je ne sortirais pas trainer mes deux pieds dans la boue..

La boue de nos souvenirs..

nos souvenirs ensemble..

si vous saviez ce que nous avons vu, vous ne vous demanderiez pas si nous sommes aveugles, vous nous diriez : nous vous aimons et nous aimons le souvenir de cet été là.. où vous étiez deux..et deux encore..

Deus amiants, l'un l'autre..

où vous étiez deux..

Si l'un de ces jours, vous passez par chez nous, laissez nous le souvenir de vous et surtout souvenez vous bien, oui, souvenez vous bien de ce que nous disons là..

Ce n'est pas pour rire, ou alors.. Et ile font les yeux avec les cercles qui vont et qui s'en va..

au jardin de mon coéurs il y deux louloutes dont l'une est moi et l'autre est là-bas..

Deux étrangers aux paradis des pds des gouines et des lesbienness..

des pds..

sur la balustrade d'acajou, il y a un cacatoès dyslexique qui parle et mange les mots de mon esprit, suspendu.

Sur le toboggan fantastique de mes pensées, les larves majestueuses de nos amours disparues ont des reflets d'argent, au temps qui passe..

Si la crevette sombre, le rafiot coule , mais sur le radeau de ntre histoire, tu as suspendu le chewing gum que nous machions ensemble en guise de drapeau..

Si je te sonne, la cathédrale de notre envie se suspend aux lambeaux des enfants que nous aurons ensemble dès que les cloches retentiront à l'unisson.

C'est ta gloire que je pressens par sette affirmation tendre, I love you..

I love you.

I love you.

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