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  • : Le blog de captainmatt
  • : Une flèche plantée dans l'oeil de l'intolérance.
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La Force des mots est telle qu'elle défrise la Mort, malheureusement elle n'est pas assez Puissante pour modifier la Vie.




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" Bien que Le blog de captainmatt soit signé Captainmatt, on a du mal à croire qu une telle merveille puisse être le produit du travail d'une seule et même personne, tant ce blog est riche, complexe, troublant comme un impromptu de Schubert. Je ne doute pas que Le blog de captainmatt soit dédié aux internautes les plus intelligents, exigeants. Comme diraient les écossais : A masterpiece ! " signé lisabuz
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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 09:22

Les misères de l'empire romain s'amenuisent à mesure que le temps passe, me dit la boulangère en me tendant le pain du our. Les chagrins et les regrêts aussi rétorquai-je en lui mettant la monnaie dans la main.. Les jours sont pour moi ainsi, faits de bric et de broc, habillé comme l'as de pique.. Ma mie m'attend, ma croute sous le bras, je tends vers elle. Sautillant, rtout guilleret, je m'apprète à la retrouver, lors qu'elle s'apprète. A me quitter, elle n'y songe même plus. Aux autres hommes, elle ne se donne même plus. Notre fille m'attend. Nous prendrons notre déjeuner froid, mais si de là, notre attention au pôle, sifflant des airs d'aujourd'hui, victimes d'un temps froid et sombre, glacial, sur la pluie qui s'étend à perdre la vue, je pleure de désespoir. Elle va me lècher.


Sa mère me dit toujours que je sens mauvais des pieds, elle part sur des airs de dvorjak ou un moderato cantabile. Son casse-croûte, il peut se le garder, semble me dire son regard. C'est une grande et belle famille, me dis-je souvent, en les regardant. Je ne suis qu'un rapporté. Son honneur s'assoit, tandis que le train et la carvane passent. Son père écume sa mère, écuyère; sa soeur, je n'en parle pas. Elle geint toujours, sur le mur de la salle d'eau, porcelaine éprouvée, dépassée par tant d'indécision malhabile, maladroite, elle assume et casse la faïence à grands coups de pourquoi. Elle a décidé de me garder. Rien ne peut la faire revenir sur sa décision. Sa mère sent l'orage arriver à grand renfort de comment.. Elle va me lècher.


Héloïse, la soeurette, toujpurs propre, sent à plein nez le sou neuf et semble assiégée du "quand dira-t'on si celui-ci est un gredin ou un chien", pareille à la petite fille quelle fut naguère, lors de ses sept ou onze ans, sentant, une à une, les rides de son visage s'ouvrir et se fermer et durcir, peu à peu,les traits des gens qui la regardent, comme si d'une désespérance à l'autre, l'encristement d'une andere valait bien celle-là. Une larme coule sur sa joue car elle sait qu'elle va me lècher.


Certainement, ces femmes ne supportent-elles pas le monde, encore qu'elle l'habitent.. cependant qu'elles ironisent, incertaines sur l'hardue faculté féminine de se foutre de tout, de savoir avec précision où est son mari, et l'heure qu'il est, alors que tout indique qu'il serait temps de se rendre compte qu'il n'y a plus rien qui vaille et de lâcher tout le lest restant au "ballon" pour un voyage dont on ne revient pas, dont on ne peut plus jamais revenir, essoufflées qu'elles seront par le temps qui passe, alors que ces choses changent, magiques et semblables à celles, même, que l'on ne connaîtra plus; alors que tout s'égare; tandis qu'il faut se donner pour la mémoire d'un bouton de rose, regrettante si l'on a laissé tombé même le souvenir d'avoir eu un choix ou d'avoir hésité l'ombre d'un instant, d'avoir sucé l'espoir fou de sa mère, peut-être, lèché l'ortie du jardin de sa mère-grand et gouté, sur une tartine beurrée, les cives fraichement cueillies tout en ommettant de remettre en place leur serre-tête, pour une faute éternelle sur laquelle viendra toujours buter le couvercle de leurs rêves qu'en dépit du bon sens leur vie essaie de visser et la peindra d'une escarlatine de malheur, tandis qu'elles oublieront jusqu'à leur prénom sussuré, jusqu'à la tête de leur père extatique, hypostasié, tandis qu'elles avoueront ne pas aimer, tandis qu'elles diront : "Non.".

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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 09:15

Sûr et certaine que tes idées sont dérangeantes. Juste ceci :

 

De ci, de là,

je t'amène à moi,

Si c'est l'histoire qui guide mes pas,

L'aventure,elle, s'éloigne pas à pas,

De toi à moi,

tu gagneras.!

 

Fuis ta vie, elle me désigne,

Sous l'espoir de te renaïtre,

Comme si l'on était de grands cygnes,

Garde l'espoir de te repaître,

De mon cou,

Où coulent

Les larmes d'or

De ton amour qui s'évapore,

pour un temps d'éclipse

Alors,

fonds toi dans cette note de moi :

 

Serre ma main ,

embrasse ma tête

Décide de me perdre,

sous l'égide de ton en-tête.

 

Il faut donner au prochain

l'espoir de renaître.

 

Serre ma main,

elle me quitte, alors, je sais :

love on the bite.

 

Sur ma mièvrerie

d'adolescent,

je t'invite.

 

Dis le moi le :

love on the bite.

 

Sur ma peau, s'éclate une larme

et c'est octobre qui s'invite,

dis le moi le :

love on the bite.

 

 

Caresse ce cou,

Il monte au ciel,

Et te suggère

De faire carême

Tu sais qu'il  faudra bien

Y laisser

Ton ombrelle.

Je t'aime

Avec deux m ou bien ?

 

Suce mes plaies qui te divisent

Comme l'arc-en-ciel,

insoumise,

tu flanches trop, peut-être

facilement,

exquise.

 

Dégraffe mon soutien,

Gorge, et approfondis

Tes entreprises,

Cynise,

moi tout cela, en toi je crois,

ma seule amie.

 

Serre ma main !

Elle me quitte. Alors,

je sais :

love on the bite.

 

Sur mon audace

de gamin,

je t'invite :

 

Dis le moi le :

love on the bite.

 

Sur ta peau

de célophane

J'arrêterai

tous les drames.

 

Dis le moi  le :

love on the bite.

 

Quand tu t'emportes, je me divise.

Tes soustractions à mon emprise

Me gardent au coeur comme une exquise

Rancoeur qui symphonise.

 

Excuse moi de la méprise !

 

 

love on the bite.

love on the bite.

love on the bite.

 

 

Pour deux trois geeks qui électrisent

un à un leurs petits bits,

je dis au ciel de pardonner

gracieusement ces faisceaux

en kit.

 

Déjà je mords l'oreille grise

et ta moelle

épinière syphonée

pour un festin cristallisé au

Ritz.

 

rite

rite

rite

 

Fais moi la tête, aimée subtile,

j'ai déjà peur de ton retour,

je sais tu sais, mon tendre amour,

J'ai failli perdre sur le fil

d'une note.

 

Gardénias bleus

Sur terrasse mauve,

J'ai déjà oublié la prose

Qui m'attachait tant à la chose

et à mes bleus.

 

Serre ma main

sans une esquive

ma p'tite mimite,

passons ensemble sur l'autre rive,

love on the bite.

 

Nous sommes grands

maintenant,

toi au moins,

marguerite,

love on the bite.

 

Dis le moi le :

Love on the Bite !

 

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25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 06:42

Des fois, je me prends par lamain et viens. Elle m'attire.

Des fois, je me prends et par mes mirettes, je me prends par le cooin de l'oeil et j'ai si frroid..

Parfois, c'est toi qui me prends ouh, si haut !!

 

Des fois où la vie nous prend aux trippes, je me serre et je me dit que j'ai de la chance..

Des fois..

 

Quand c'est toi, c'est tout. et je me dit : il est temps de se quitter.. et de rester là, sans un chien, sur le bord du pavé.. du trottoir, je crois, comme le sautoir d'une monrtre qu'on oublie de remonter..

Des fois..

Des fois, quand la vie nous monte aux trippes, j'attends un temps indéfinissable que tu aies fini de te maquiller. Que tu mettes tes habits d'or ou de diamiant, d'apparât simplement, enjolivés qu'ils sont par les reflets du soleil couchant et se levant..et me levant, je te dis que tu es longue, que je suis longuet, décati sur les enjolivures les arabesques et les motifs de ta robe en lin que je ne sais plus quand tu l'as achetée, mais c'était recemment et c'était pour me faire plaisir, si plaisir il y a, et plaisir il y a eu, des serpentins des dorures et des bouts de tissus disparates qui s'entremmèlèrent sur la chaise que tu as pris le temps de désolidariser au matin, te souvenant de quand je t'ai prise, la eille au soir, un oeuf sur le plat ou dns le lit d'or et tu as dormi, mais tu t'es étalée, sans dire pourquoi, et je ne me souviens plus, anh, et quand tu es partie et ressortie de la pièce, je t'ai regardée dans ton reflet en haut du miroir du plafond, ta jambe dans l'embrasure de la porte, mais ce n'étytaitrt pas dans le miroir, et pas au plafond, surtout que j'ai plerurré cete nuit là, et tu étais partie, déjà, il n'y avait pas que nous, mais nous étoins seuls, maime ta fille ne t'a pas entendue, pourtant, ..or, donc ,combien, cependant or même cependant que, et nous étions bien et nous étions seuls , reposés, satisfaits, comblés de tant d'amour , repus de ce festion de nortre corps que nous avions magnifiés, embaumé, enjolivé, pour une histoire, pour une nuit de queques joiurs, de quelques heures au plus avant de dormir, repus et bien ici, et peut-être plus là-bas, ailleurs, dans la maison, près du lac, celle où nous étions seuls, avec notre peine, nos chagrins et nos nimaux que nous disions aimer tel que nous pouvions aimer les bètes et c'eqst elle, la bète, ta fille, qui nous sourit, là, sule, sur la photo sur la télé du salon et les flaeurs avaient poussé sns notre intrvention, à peine si nous avions participé à leur éclosion, à peine, si nous l'avions voulue ou attendue ou subodorrée et les senteurs s'exhalaient lentement, comme elles sortaient de ton sexe froid et comme si là où rien n'avait dû pousser, je t'avais tirée, poussée vers la sortie en disant ce n'est pas pour toi, pas ce lot de commisérations , d'enfantilleages, de misères, humaines, toi tu es fd'un aurtre genre, pas du gentre qu'on sexpoite ou que l'on s'approprie, pas du genre que l'on flatte qu'on ment, qu'on obsderve ou qu'on meurre, qu'on assujettit, qu'on meurt à grand coup de lates, unbe taffe, je ne veut plus qu'une taffe, et je meurs dans un sourire à la lune, elle est trop distane, toi, j'entends le briuit de ta douche, alors je meuurs d'un sourire à petit feu sans que tu ne te fdoute ni e comment ni surtoût même de pourquoi; il n'y en a plus, ni de pourquoi ni de comment, je ne veux que le bruit de la douche suir ma peau, etr plus de musique, plus cete musique qui m'environne et je sais que que bientôt cela csera à moi, mais je ne veux pas..t'aimmer, je ne veux pas te donner, ni rien ni ce que j'ai à vendre, ni ce que j'ai à rendre, a voler à l'univers pourri d'cati aurttant que moi, je le sais, demain srea un jor comme les autres ou nos vivrons tious deux comme si nous aliions mourir, comme si nous étions morts hier, de tant d'amour pour pourrir et pour vivre erncore dans le jardin du temps et dns le mien, comme si tous les jardins étaaient à toi , comme si toutes les fillesx étaient de toi, comme si tous les petits garçons étaient morts-nés au bout dfe nos doigts, digitales, digit, quand tu m'as parlé, pour me dire quelque chose qui m'a fait rire, et que j'ai ressassé en prenant une nouvelle taffe , après tout, j'étais le roi, chez toi, lme roi, opur une fois, et j'ai pkleuré en crachant, car ce jour, oui , ce jour était unique.., et chez toi, dans la maison pale, tu étais là, j'étais en vie, c'était..

 

Va voir ta mère..

 

Je me dis et je me répète que j'ai eu de la chance, d'abord avec la lancia, et puis l'ascensceur, le deuxième sous-sol, le jardin des joiurs heureux, le soleil qui brile, le chant des.. Et te voiolà ! Tu parles en bougeant nue auriour de moi, en rassemblant tesq afaires, en écoutant le chant dees oiseaux, je n'ai jamais trop su le.. Et tu bouges, tu virevoltre, ..tu es heureuse, je t'aime.. Et je fume sue rle lit affalé, allongé, et tu m'écoutes fumer, tu m'envoies des bribes du passé,n j'entends le mot maman qui revient et ca erpart, et j'écoute la musique mais plus le riuit de ldouche, mais je sis que je vais l'entendre plus fort tout à l'here, d'ailleurs, tu es cdéjà a moitié habillée, poiisque tyu me pearles, puisque tout est là, fuite, décrochage, piuis je reprends une cigarette, je ne sais plus qelle heure il est est puisque t es là, pisque tu me parles, que la viier nous fairt un cadeau eyt qu'il y en a d'autres sous le sapoin, et que tu mez pear.. tu t'interromps, mais.. je lance un nuage de fumée dans ta direction et je fais mon air in,terrogatif, tu m'écoutes? Je ne fais que ça mon amour! Et tu reprends tyon habillage, tu prends ton haut tu le plie à oitié sur tes ghanches e poure lenfiller par le col en recommançant a me parler et je finis me deuxième cigarete, ça j'ai compté en me disdant qu'il va faloir quer j'y aille, écouter le bruiot de la doiucvhe de près, rtès fort, comme dans mes souvenir et que je te parlèrais surement, à travers le bruirt des gouttyes, pour te dire queque chose de drôle, à mon tour et que tu ferazs semblant dee ne pas ezntendre et que je ferais semblant fe te crire en pensant que le bruit d'une grosse goutte m'a caché ta réponse, et que ce sera bientôt fini, que nous seront bientôt p.. Que nous avons envie de ..

 

Comme ta soeur que nous verrons sûrement.. ou une e ses amie ou la concirege ou une dame dans la rue.

 

La chat fait miaa, je me lève.. sans dire, je te touche en m'éclipsant pour de bon.. Tu peux changer de musique.! Je ne ais pas pourquoi je pense a ça. Je vais machinalement dans lacuisine chercher mes habits, j'ouvre le frigo, ils n'y sont pas, jechange de tactique et me rends dans la salle de bain en sentant des mietes de cendres se coller contre ma pea.. J'ai un bout de fromage dans lma bouche, je pense a la tête de ta mère qui ne va rien remarquer. Je n'aurais plus faim, je mangerai quand même de bon appétit en reprenant de la blanquette.. Et lave toi les dents. Je ne fais mêmer pas attention, était ce de l'huumour? répétitif. Je me dis qu'il faudrait repeindre l'appart'. Mais c'est chez toi et je te le dirai certainement en sortant de la douche pour l'instant, je ne suis pasétanche, ma montre l'est, je riggole et je te lance une vanne que tu n'entendras pas.. Je suis dans la douche. Pourquoi c'est toujopurs moi qui passe en deuxième je ne me le demande même pas je pense que le chat va surement venire se frotter a la douchez mais j'ai fermé la potrrte.. Tu es loin, déjà qui t'emmenne de ton pasé tandis que le prése,nt résonne déjà à mes oreilles, tambourinne, je chante, hey mr tambourine man.. J'attends le momaent où je vais étaller le gel douche.. Il fait chaud, comme en toi.. Tu n'es pas là, tu ne sera plus là.. je srais seul désormais, seul a manger ma druxièmez part de blanquete et ta mè-re, je ne vais pas la voir que lorqu'elle me dirtza au revior.. Et je chanterais la fin de la chanson, comme lorsque je chantais petit le soir ava,nt de me coucher les chansons entendues la veille.. Ilfait bnon pourquoi on ne vivrait pas au dehors ?? Je ris a ta blague, mais c'est moiu qui l'ai dite Les éléphants sur le papier peints se tiennehnt par lea trompe (drôle d'idée) et se uivent. Les dents a se rosser. CFa marche.

Qui était-ce?

Je suis un gros égoutant.

Je t'aimze.

Mais c'est la première fois que ca arrive.

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20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 05:10

Salut, Michel !

Saaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaalut....

Sa va ? Tu fè koi ?

Xapatan..

Feve d'argent.. sur apparat d'or.. sur toi.

Sa va bien ou pas.

Sel immense. Désormais, on fera tut et esi bien.. Fera beau et sombre et venteux..

Fragile.

Sallisylique Sa rtrappe. Ferme .

Derme. Garçon. Garce. Fellicitée. Amovible. Je sais. Hamiche. Hellou.

Dalhia. Garçon. Garce. fortunée..

Sale putain.

Sale.......Hop.!?

Saaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaerty.

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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 13:01

Callé-idéoscopiq-amouri-R.. de rire. Félicidad, mon ami, je suis votre obligé. N'importe la parole; elle s'égare. Que n'importe la parole. Terminés les soucis !! Tu sais combien je t'aime. Fragili-stcK !!

 

Désolé pour le merci. Pas de quoi. Je suis votre obligé. Combien je t'aime. Combien ? Très à vous. Elle s'égare. Déjà, je mords à belle dents en la vie. Le requin. Papa, je t'aime. Das Imwelt ist nett. Die Verschmutzung ist weg gegangen. Die EiffelTurm steht ins Stadt, das groSe Stadt, groS Paris, nach dem Autobahn. Gargouillis intérieurs de circulation gastrique puis intestinale... Foin des luttes intestines pour un bout de terrain, un morceau de tissu ou une loupiotte finlandaise.. Daisy Day rata.

 

Puis viennent les cortèges, les escortes, les gardes en armes, les corps à garder, les garde-manger, les mange-cailloux.. Ma mère suit pas ces cortèges là. Dans sa 204 Pigeot super spring, les petites écuyères sont au garde à vous. Rangées deux par deux. Leur homme mirobolant marche pour elles. Les mirettes amoindries par d'affreuses lunettes, "des cailles", pense-t'il. Après tout, c'est le propriétaire.

 

Le propriétaire marche. Il court. C'est un peu..long, un peu selon !.. Cash !! When you're on the road, c'est one chip one seat. Pas le temps de s'arrêter. Pas la force de marcher. La force du temps se marre, s'égare. Elle puissse de l'eau de rôche du plafond décati. Immortel. C'est pas un coup de vent qui le ferait tomber celui-là !!^^ Finalement, je m'auto-alanguis sur la moquette grise et moite, comme moi, aussi bête que ses pieds qui puent, qu'elle me dit. Et son cul, répondis-je. Il pue ! Et sa tête ? Aaah, ça je ne sais pas. Familièrement appelé petit lionceau, il sphincte du goulôt. Flêche en mon coeur, change pas de bonheur !! Je suis désolé, on va pas pouvoir continuer. C'est chanmé !

 

Depuis lors, je me mets à manger le tourne-disque. Il tourne et moi, je le vois même pas !?!.. Désormais, je suis rebébé. Facilement identifiable. Prêt à tout donner. Réduit à regarder. Sur la table de la salle à manger, il y a à manger, mais pas une étable, du pain. Du paté et peut-être un petit bout de saucisson. Mais, c'est pas sûr, ça, heuh.  A plus tard !!...

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 18:28

Si j'étais un plus, ce serait monsieur cacahuète. Si j'étais une étable, ce serait une baraque en bois. Si j'étas une femme, ce serait Margareth Thatcher. Parce qu'elle a du poil aux pattes. Et qu'elle est belle, gracieuse et qu'elle mange sur le télécabine de l'Olympia.

Si j'étais une femme, je serais toujours d'accord avec tout, bien sûr, pour de rire. Et j'aurais les fesses propres. Et j'aurais une belle broche en nâcre et le truc pour se coiffer assoreti. Et j'aurais deux beaux enfants, deux filles, qui se prénommerait Déborah et Serpentine. Elles auraient deux beaux carosses et elles mettraient leur habit de fée pour jouer dedans. Je passerait ma vie à poil. A caresser le rêve fou d'être renfin seule sur teerre. Et je regarderait Derrick à la télévision.. les Simpson et aussi l'académie des neuf. Je mangerais des kébabs parce que j'aurais la flemme de faire la cuisine pour deux flemmardes qui ne buffent que des crudités et du riz et des salades "texanes". Il n'y aurait pas d'homme dans ma vie. Les enfantes, je les auraient fait toute seule. Et puis, voilà !..

Des fois, je téléfonerais à une copine pour aller au théâtre ou au ciné, mais de toute façon elle est con ma copine. Et puis l'écran va pas lui tomber dessus, on ne va pas lui offrir un pont d'or et une carrière mirrifique parce qu'elle va se faire un ciné avec moi, enfin bon.. Pour être sûre, je propose des horaires de chien.

En plus, si j'étais une femme, je serais très gentille et douce, parce que j'aime bien ce qui est gentil et doux, et sûrement que j'aurais le prix Nobel...

Mais bon, dans ma vie, il manquera un homme, parce que le seul homme qui femme puisse vraiment désirer, celui qui serait toujours là pour elle et qui lui embellirait la vie, c'est bien moi..

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 16:44

Saperlipopète, les anges de l'année prochaine et de la suivante sont déjà là, à ce qu'il semble. Les anges, ils courent les rues.. et écument les troquets, lascivement. Ils et elles courent. Elles, le plus souvent, car il n'y a qu'elles..... Fariboles. Elles écument.Si de là, tu ne peux les voir au sortir du bain, c'est qu'elles sont si loin dans leurs bulles de savon que rien ni personne ne peut les salir. Les voir relève du miracle, les toucher du rêve, prendre un repas avec elles de l'After-work. Après, tu te retrouves tout seul dans ton froc et c'est comme toujours : soit tu partages et tu perds ton short, soit tu te retrouves dans ton pieu le soir à le serrer comme un doudou.. Et si la prochaine fois, je l'enlevais ?

C'est comme l'histoire du caleçon-fétiche; qu'est-ce qu'un ange a à foutre d'un caleçon-fétiche ? Pourtant, et si c'était ça ?? A la voir, elle ne rêve que de me l'enlever.. Et qu'est-ce que j'attends ? Des anges qui me câlinent, câlins, câlins.. Dans tous les cas de figure, je m'abandonne.

 

Dans cette rue, il n'y aura plus que la pluie, car les bouches à incendie se sont enfuies lorsque le grand méchant tremblement de terre est arrivé. Les anges étaient là, étalés. De ci, de là, des corps sans cris, sans nudité, sans espoir. J'ai compris que c'est comme celà qu'ils (elles) se reproduisaient. Sans amour, sans sexe, sans cri, sans bruit, dans un grand chambardement extatique, comme malheureux, mais heureux d'en finir. Comme si la fin était l'aboutissement de toute leur vie, qui n'est jamais qu'un grand recommencement.  Et tout repart lorsqu'elles semblent vouloir parler, vouloir vouloir, vouloir bouger. Mais, elles n'ont jamais eu de pouvoir.

Je m'en rends compte maintenant. J'ai peur. J'ai froid. Et j'ai envie de pleurer. Je ne sais pas ce qui m'a pris, à croire qu'elles seraient  éternelles et à les aimer. Mais, elles le sont en vérité. Pour moi.

A ma gauche, un pilier de bar. Dans ma main un verre. Je vais le porter à ma bouche et boire. Je n'espère plus les revoir. Elle sont parties, bien plus sûrement qu'avec un autre. Elles étaient toute ma vie.

 

Je pousse la porte et je me retrouve dans la rue. La nuit est claire; oui, elle éclaire.

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30 avril 2011 6 30 /04 /avril /2011 11:00

Terminé les rendez-vous d'un soir, je suis maintenant adulte, je suis maintenant l'orée d'un être humain tel qu'il se doit à lui-même, honnoré de principes tels. D'une aventure à l'autre, j'ai sauté sur trois mines antipersonnel, fichu samedi soir on the evening, Luna Park, vu lombre ambrée et violacée de quatre ailes de papillons géants, bu à l'eau de cinq marmites encrassées. Ici la terre, allo la lune, ici la terre, allo la lune.. Les aprenties aides adventices de beaux chameaux qui dansent pour Noël sur les feux de la Saint Jean de l'année prochaine ont tort, il n'y aura jamais assez de place pour tout le monde dans le vaisseau spatial qui nous conduira vers le prochain univers à coloniser. Goddamn it.!. Les petites filles de l'aventure, la prochaine ont raison elles pleurent en riant vers la crasse qui souille et encombre leur cul juvénile qui nous fait tant de bien à la peau, à l'appeau, désolé, qui rebondit en silence sur les super novae de l'amour, en suite..

C'est la recherche de l'aventure d'un moment, d'un instant fugace, qui, au détour d'un chemin de traverse, fait la queue et nous emporte de ci de là, par delà l'océan gigantifique de la haine accumulée ( sacrée putain de ..) et qui fait l'imbécile, jonglant d'une béquille sur l'autre, cherchant le bonheur, le bonheur magnifique d'être enfin éloigné de sa propre réalité en la recherchant (cette pute). Elle ne s'aventure plus en deça des espaces défendus, elle reste sur le terre plein de la vie, se demandant a combien est le prochain rond-point de la vie où le directions seront indiquées, celles qui décideront de la marche à suivre, d'ici le prochain relai routier. Oh, merde. La cigogne au long court se démet les ailes dans la danse de la joie, elle se joue de ce vent d'hier qui nous détruit tous au corps bien fin qui est pour chacun le sien, envers et contre tous les dieux d'ici-bas et les autres, qui se tapent la ruche en silence et demandent à la mère supérieure d'asker for some bread and some questions to tell my mom or regret and not to do.

This is how things goes; don't ask a question and don't tell my mam, please, don't tell her I'm a jerk ! Foutaises moi la Paix. Qu'illes au derrière de la moue que je fais à la vie. Don't blame me, regret that's all. Please for me. Gargouillis intestinaux. J'ai la chiasse de toi. Tu fous le camp et c'est marre. Déjà je pèle et je rappelle a l'éternité de m'oublier dans les méandres extatiques du temps, s'il pouvait me garder une à deux morues surranées, on s'rait pas si mal, n'est ce pas, Joe; Joe, c'est mon poisson rouge, il frétille dans son bocal, et se demande pourquoi le type qui vient de remarquer qui l'observait de ses yeux ronds est le même qu'il n'a pas vu deux minutes avant. Le con. 

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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 09:59

Yes I know, how many much more for you, my dearling ? How is the Middle Town so high , you know.. My heart belongs to her daddy, mein lieblink. For so shure yu are, she dropped more than one to hold yu tight, mein lieblink, I heard her say. She's too young, and I 'm a cannibal, that's my life.. So that she jumped off the bed in the middle of my Huntchee Kuntshee room.

So that's just the point she put in the edge of his life, he, her husband, his low full Wanded husband, the father of her child, the little wonder, itself. And he just selpt out the room..

Down this way , I want to say, (that's what I mean, yu know) she was just like evry other woman on earth, a god damn it foxy bitrch, but how charismatik, yu know my opinion about that.. She was just a crazy bitch, and that was at last the less important.. How beautifull she was, on that day, the greatest of her life.

I'm sorry about that.

My feelings were, and that was just the point from an other deliquescent way, I was just in love with my feet, the right one, you know. And it was just jmping off the bed and rolling around and around you, yu know, you, the little fragrant pleasant thing, I was just scrambling and tapping on my chess diamond.. That was one of these days, yu know now.

 

Just to sau.

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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 05:34

Gérard, ammbitionnaoire à plein temps, désormais ruséparmi les sioux, achille comme un apache et rasé de près de bon matin, suggestionnait au papa de ce canton l'avis indicatorial de selon lequel la main mise des indiens sur le stock de munitions pourrait nuir a long terme à l'arrivée de la diligence mardi matin, avec l'arrivée du petit prince, son père, qui êtes aux cieux, le gros vilain méchant matou ici qui n'a tu nvu et idem ex-aequo sobite csonate ding dong alleluia..ah ah..
Geraldine, soubrete a bar-le-hu, mise, cenft fois mise, désormais dénivellée au plein pot d'une vie infernale en temps d'attente entre: deux champoings entre deux clients, entre deux cycles ou périodes menstruelle, je sais plus trop bien quoi d'abord, enfin, c'est ceci cela après tout tantr font un fsans que deux n'en faurt, a combien quoi t'est-ce et vivendi multinationnale bibenduum michelin, j'en passe et tutti quanti, mais c'est ta mère qui tient les comptes après tout alors merde..
Gerard et Geraldine formaient ainsi une équipe très soudée, si soudée que bien temps dieu que peut s'en faut, ils se rencontrèrent sur un nabil à pendule a peine lisible et dur a croiree. Et tantet si bizen qu'un efnfant naquit de cette union naissante et en laquelle on ne devait croire que très difficilement, après tourt c'était l'automne.
Un automne où il faisait beau, une saison qui n'existe que deans le nord de l'Amerfric. Après tout, c'était l'hiver.
Et les nues des chrysalides donnaient leur langue au chat dans le cul de ma belle mère. Accroche toi au rideau, ca grimpe.
Sous sa jupe menue frotti, ma soeur regardait la lampe. Elle avait mal aux genoux. Elle lorgnait depuis l'échaffeau jusques au lavoir où Geraldine avait mise sa liquette a laver, souillée qu'elle était par les relands de la scène primitive. Gerard ne bronchait pas. Il est vrai qu'un ambitionnaire à plein temps ne bronche pas beaucoup, exepté dans ses orgies estivales là où le vin le champagne et les femmes coulent à flot quand on sort d'une partie de poker pour replonger dans une autre, on se demande même si le champomy n'a pas été inventé pour ça. Aucun rapport avec les indiens, là. Géraldine, elle, ne les aurait plus ses indiens pour quelques mois au moins, dix pour être précis car le petit était du genre lent, déjà là, ça se remarquait.
Ainsi naquit Adrien, un lundi soir vers dix-neuf heures et avec lui , c'était de fraiches lampées d'air pur a portée de leurs orifices sosenriels quand l'air et l'atmosphèere autour sont comme quand on sort des toilettes et que l'Air-Wick se dilue dans les odeurs de rosbeef tiede de graillon et de tarte aux mirtylles qui sort du frgo quand on est sortie de table pour faire une place au dessert. Adien est tétel. Pas lu beaucoup, moi, relu seulement, je suis gentil je vous aime.
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