Des fois, je me prends par lamain et viens. Elle m'attire.
Des fois, je me prends et par mes mirettes, je me prends par le cooin de l'oeil et j'ai si frroid..
Parfois, c'est toi qui me prends ouh, si haut !!
Des fois où la vie nous prend aux trippes, je me serre et je me dit que j'ai de la chance..
Des fois..
Quand c'est toi, c'est tout. et je me dit : il est temps de se quitter.. et de rester là, sans un chien, sur le bord du pavé.. du trottoir, je crois, comme le sautoir d'une monrtre qu'on oublie de remonter..
Des fois..
Des fois, quand la vie nous monte aux trippes, j'attends un temps indéfinissable que tu aies fini de te maquiller. Que tu mettes tes habits d'or ou de diamiant, d'apparât simplement, enjolivés qu'ils sont par les reflets du soleil couchant et se levant..et me levant, je te dis que tu es longue, que je suis longuet, décati sur les enjolivures les arabesques et les motifs de ta robe en lin que je ne sais plus quand tu l'as achetée, mais c'était recemment et c'était pour me faire plaisir, si plaisir il y a, et plaisir il y a eu, des serpentins des dorures et des bouts de tissus disparates qui s'entremmèlèrent sur la chaise que tu as pris le temps de désolidariser au matin, te souvenant de quand je t'ai prise, la eille au soir, un oeuf sur le plat ou dns le lit d'or et tu as dormi, mais tu t'es étalée, sans dire pourquoi, et je ne me souviens plus, anh, et quand tu es partie et ressortie de la pièce, je t'ai regardée dans ton reflet en haut du miroir du plafond, ta jambe dans l'embrasure de la porte, mais ce n'étytaitrt pas dans le miroir, et pas au plafond, surtout que j'ai plerurré cete nuit là, et tu étais partie, déjà, il n'y avait pas que nous, mais nous étoins seuls, maime ta fille ne t'a pas entendue, pourtant, ..or, donc ,combien, cependant or même cependant que, et nous étions bien et nous étions seuls , reposés, satisfaits, comblés de tant d'amour , repus de ce festion de nortre corps que nous avions magnifiés, embaumé, enjolivé, pour une histoire, pour une nuit de queques joiurs, de quelques heures au plus avant de dormir, repus et bien ici, et peut-être plus là-bas, ailleurs, dans la maison, près du lac, celle où nous étions seuls, avec notre peine, nos chagrins et nos nimaux que nous disions aimer tel que nous pouvions aimer les bètes et c'eqst elle, la bète, ta fille, qui nous sourit, là, sule, sur la photo sur la télé du salon et les flaeurs avaient poussé sns notre intrvention, à peine si nous avions participé à leur éclosion, à peine, si nous l'avions voulue ou attendue ou subodorrée et les senteurs s'exhalaient lentement, comme elles sortaient de ton sexe froid et comme si là où rien n'avait dû pousser, je t'avais tirée, poussée vers la sortie en disant ce n'est pas pour toi, pas ce lot de commisérations , d'enfantilleages, de misères, humaines, toi tu es fd'un aurtre genre, pas du gentre qu'on sexpoite ou que l'on s'approprie, pas du genre que l'on flatte qu'on ment, qu'on obsderve ou qu'on meurre, qu'on assujettit, qu'on meurt à grand coup de lates, unbe taffe, je ne veut plus qu'une taffe, et je meurs dans un sourire à la lune, elle est trop distane, toi, j'entends le briuit de ta douche, alors je meuurs d'un sourire à petit feu sans que tu ne te fdoute ni e comment ni surtoût même de pourquoi; il n'y en a plus, ni de pourquoi ni de comment, je ne veux que le bruit de la douche suir ma peau, etr plus de musique, plus cete musique qui m'environne et je sais que que bientôt cela csera à moi, mais je ne veux pas..t'aimmer, je ne veux pas te donner, ni rien ni ce que j'ai à vendre, ni ce que j'ai à rendre, a voler à l'univers pourri d'cati aurttant que moi, je le sais, demain srea un jor comme les autres ou nos vivrons tious deux comme si nous aliions mourir, comme si nous étions morts hier, de tant d'amour pour pourrir et pour vivre erncore dans le jardin du temps et dns le mien, comme si tous les jardins étaaient à toi , comme si toutes les fillesx étaient de toi, comme si tous les petits garçons étaient morts-nés au bout dfe nos doigts, digitales, digit, quand tu m'as parlé, pour me dire quelque chose qui m'a fait rire, et que j'ai ressassé en prenant une nouvelle taffe , après tout, j'étais le roi, chez toi, lme roi, opur une fois, et j'ai pkleuré en crachant, car ce jour, oui , ce jour était unique.., et chez toi, dans la maison pale, tu étais là, j'étais en vie, c'était..
Va voir ta mère..
Je me dis et je me répète que j'ai eu de la chance, d'abord avec la lancia, et puis l'ascensceur, le deuxième sous-sol, le jardin des joiurs heureux, le soleil qui brile, le chant des.. Et te voiolà ! Tu parles en bougeant nue auriour de moi, en rassemblant tesq afaires, en écoutant le chant dees oiseaux, je n'ai jamais trop su le.. Et tu bouges, tu virevoltre, ..tu es heureuse, je t'aime.. Et je fume sue rle lit affalé, allongé, et tu m'écoutes fumer, tu m'envoies des bribes du passé,n j'entends le mot maman qui revient et ca erpart, et j'écoute la musique mais plus le riuit de ldouche, mais je sis que je vais l'entendre plus fort tout à l'here, d'ailleurs, tu es cdéjà a moitié habillée, poiisque tyu me pearles, puisque tout est là, fuite, décrochage, piuis je reprends une cigarette, je ne sais plus qelle heure il est est puisque t es là, pisque tu me parles, que la viier nous fairt un cadeau eyt qu'il y en a d'autres sous le sapoin, et que tu mez pear.. tu t'interromps, mais.. je lance un nuage de fumée dans ta direction et je fais mon air in,terrogatif, tu m'écoutes? Je ne fais que ça mon amour! Et tu reprends tyon habillage, tu prends ton haut tu le plie à oitié sur tes ghanches e poure lenfiller par le col en recommançant a me parler et je finis me deuxième cigarete, ça j'ai compté en me disdant qu'il va faloir quer j'y aille, écouter le bruiot de la doiucvhe de près, rtès fort, comme dans mes souvenir et que je te parlèrais surement, à travers le bruirt des gouttyes, pour te dire queque chose de drôle, à mon tour et que tu ferazs semblant dee ne pas ezntendre et que je ferais semblant fe te crire en pensant que le bruit d'une grosse goutte m'a caché ta réponse, et que ce sera bientôt fini, que nous seront bientôt p.. Que nous avons envie de ..
Comme ta soeur que nous verrons sûrement.. ou une e ses amie ou la concirege ou une dame dans la rue.
La chat fait miaa, je me lève.. sans dire, je te touche en m'éclipsant pour de bon.. Tu peux changer de musique.! Je ne ais pas pourquoi je pense a ça. Je vais machinalement dans lacuisine chercher mes habits, j'ouvre le frigo, ils n'y sont pas, jechange de tactique et me rends dans la salle de bain en sentant des mietes de cendres se coller contre ma pea.. J'ai un bout de fromage dans lma bouche, je pense a la tête de ta mère qui ne va rien remarquer. Je n'aurais plus faim, je mangerai quand même de bon appétit en reprenant de la blanquette.. Et lave toi les dents. Je ne fais mêmer pas attention, était ce de l'huumour? répétitif. Je me dis qu'il faudrait repeindre l'appart'. Mais c'est chez toi et je te le dirai certainement en sortant de la douche pour l'instant, je ne suis pasétanche, ma montre l'est, je riggole et je te lance une vanne que tu n'entendras pas.. Je suis dans la douche. Pourquoi c'est toujopurs moi qui passe en deuxième je ne me le demande même pas je pense que le chat va surement venire se frotter a la douchez mais j'ai fermé la potrrte.. Tu es loin, déjà qui t'emmenne de ton pasé tandis que le prése,nt résonne déjà à mes oreilles, tambourinne, je chante, hey mr tambourine man.. J'attends le momaent où je vais étaller le gel douche.. Il fait chaud, comme en toi.. Tu n'es pas là, tu ne sera plus là.. je srais seul désormais, seul a manger ma druxièmez part de blanquete et ta mè-re, je ne vais pas la voir que lorqu'elle me dirtza au revior.. Et je chanterais la fin de la chanson, comme lorsque je chantais petit le soir ava,nt de me coucher les chansons entendues la veille.. Ilfait bnon pourquoi on ne vivrait pas au dehors ?? Je ris a ta blague, mais c'est moiu qui l'ai dite Les éléphants sur le papier peints se tiennehnt par lea trompe (drôle d'idée) et se uivent. Les dents a se rosser. CFa marche.
Qui était-ce?
Je suis un gros égoutant.
Je t'aimze.
Mais c'est la première fois que ca arrive.