Finalement, c'est l'exacted coin of the silver diamond.

For a seel silver pfuiit, est-ce the exadted count of the free wealhing,

exact on the count,

on the corner, I mean,

that's why you are just a little beco, bro..

Celle qui fuit n'a pas le compte fait,

Celle qui fuit n'a pas fait le mal..

Sa me proturbe, cette proturbinale death,

on a silver corridor, cette petite, mais petite

silver dague on it.

Celle qui fuit n'a pas fait le mal;

mais apprend à le faire.

Sette petite louloute, je l'aime.

Dévisagées les louloutes,

envisagées les flou-floutes,

Exacted count..

Excitation overhead,

overhead and all around the world..

Syphillis Bilitis, exacted count..

Celle qui fuit n'est pas si male,

Love around it.

Love for all,

-Each and everyone- :)

In a great and wild wilderness,;

the wild wilderness of our dreams

Loneliness,

Loneliness all around,

Cat Pussy est là aussi;

Time to death , baby

Come around, come near,

Time to fuck the pussy up !

Sensimilla all around..

Exacted count.

Fuck the greatness all around,

Fuck up !!

Listen to three things,

just Listen !!

First thing is to make everything to make us ap,

'"ap things"

French things

Secondo bueno, just fuck the american way..

just fuck up..

And the third..

third thing you just havr to remember :

just live free and happy..

just like me

just like it , baby !

just like a jewish thing, thing baby !??....

Yeah, that's right !

Le en-registred la loco,

tropezian thing'

fresh, teenage thing, la baby !!

Coney cona hignland,

Con la vamos a la playa , baby, el condor pasa,

remember,

the third,

the third is the thing,

the greauy , wild and infernal thing,

horrible,

remember !

Tu la tiree ou tu la pointe ?..

La en-registred la loco

in the thing, la horrible thing,

long and wild, like me baby, like me ..

Banhoff !!!

Achtung baby !

Re-registred arrest, tout le monde descend !

Con la thing, là, you know,

In the great wilderness of my mind,

in vast and deep silent night,

con la loco , baby !

con la loco..

the loco-motion with me-e !! ;)

Con la loco..

Bijour, les gens; le cirque est sur le point de se lancer.. Flêche d'amour dans le coeur de la cible.. Tu cours et tu perds gagnes.. L'équilibriste est là, bien sûr avec son cortège d'expressioons usagées, ressassées et vues, déjà vues et revues.. Carry on et tiens le bon bout.. Tu n'es pas loin de la fin.. pièce de pizza rejoignie par léonardo, raphhaëllo et da vinci code, pas loin..

Finalement le code n'était pas si compliqué à trouver : deux tours à droite, un à gauche et vlan patatra.. le but étaila.. Etale toi..

 Du pied d'une femme, je suis là et je cours..

Du pied d'une femme, je m'ennivre ..

Du pied d'une femme, je m'extasie..

Sur le pied d'une femme, je vis en reclus..

livré à moi-même, allant juste sur e-Bay de temps à autres pour prendre la température..

Cache moi ta joie, ma petite louloute..

Si c'est un homme, du moins, je ne suis pas une femme..

La femme à moi n'est pas là où on l'attend..

 On n'attend pas les femmes par là où elles arrivent.. La mienne est venue d'un matin de pluie. Elle m'attendait à la sortie du car.. Elle était belle. Juste pour mouoi..

Elle était belle.Les femmmes, c'est le pied..

Si cette petite friponne, coccinelle aux points de saleté derrière les oreilles, n'était pas camée jusqu'aux yeux de derrière, je ne comprends pas.. En tout cas, c'était le pied..

Bon.. hmmff !!

Crache ta cigarette et cache ta joie..

 Cette petite louloute, je l'AIME..

Sa langue, je l'aime, sa bouche, je l'aime..quand elle dit des mots d'amour..

Cette a dire tout le temps..

Cet automne, je ne parlerais pas.. je mangerais les paroles qu'elle m'a dites et je les ressortirrais de mon esprit pour les ravaler et les digérer encre et encore..

Cet automne, je ne sortirais pas, par respect pour ce souvenir, le souvenir de nous..je ne sortirais pas trainer mes deux pieds dans la boue..

La boue de nos souvenirs..

nos souvenirs ensemble..

si vous saviez ce que nous avons vu, vous ne vous demanderiez pas si nous sommes aveugles, vous nous diriez : nous vous aimons et nous aimons le souvenir de cet été là.. où vous étiez deux..et deux encore..

Deus amiants, l'un l'autre..

où vous étiez deux..

Si l'un de ces jours, vous passez par chez nous, laissez nous le souvenir de vous et surtout souvenez vous bien, oui, souvenez vous bien de ce que nous disons là..

Ce n'est pas pour rire, ou alors.. Et ile font les yeux avec les cercles qui vont et qui s'en va..

au jardin de mon coéurs il y deux louloutes dont l'une est moi et l'autre est là-bas..

Deux étrangers aux paradis des pds des gouines et des lesbienness..

des pds..

sur la balustrade d'acajou, il y a un cacatoès dyslexique qui parle et mange les mots de mon esprit, suspendu.

Sur le toboggan fantastique de mes pensées, les larves majestueuses de nos amours disparues ont des reflets d'argent, au temps qui passe..

Si la crevette sombre, le rafiot coule , mais sur le radeau de ntre histoire, tu as suspendu le chewing gum que nous machions ensemble en guise de drapeau..

Si je te sonne, la cathédrale de notre envie se suspend aux lambeaux des enfants que nous aurons ensemble dès que les cloches retentiront à l'unisson.

C'est ta gloire que je pressens par sette affirmation tendre, I love you..

I love you.

I love you.

S'il hein si beau rivage, faudraitil qu'on nus marrie pur que d'un bond d'un seul je me meue jusques à vous, me reine, ma calzone et ma margaritha, vous si ténue, vous êtes l'astre solaire qui symbolise l'épaisseur obscure entre deux être, cela va beau, bishur,, hascuzi moi hascuzi mi..

Ô fol z"envolées latine au regard si doux et aux accents de liberté  si obscures vous muses verticales aux téndres echoes et aux lardeuses vertuees envolées.. Vouzetes chouetes.  Or donc cependant or mais néanmins, qu'esttce..

Sa suffila, non?

Fantastique cette soirée !

Je me mets à pendser. Garneement en culotte couertes. Sle folie qui m'entoure ! ..

Sale idée que de se déshabiller et de marcher.. Sale idée d'avancer.. Sale manie de vouloir être incompris.. queue .. merde !! Dans ce déambulatoire précoce et sang chaud, je ne m'aventure pas au delà du mur du son.. De ce déambulatoire précul et précoce, je mens et je souris, pas d'aventure qui tienne en dévent la manure la vie en deça de son aura en deça de son savoir de poulain, en delà, ^^o, dela je parle et j'écoute ton visage qui se fend en même temps que tu apprends la nouvelle, je saigne de t'aimer autant. Flamiculeusement, j'ai tort, mais tout le monde dira que j'ai raison , heureussement tu sais, j'ai tort d'avoir raison. Du tout au tout, je marche et j'arrive à un pint o nul ne connait aucune limite.  ni aucune logique.  Finambule, je m'aventure, je déploie l'excressance de tout mon savoir de tout mon savoir qui s'enfuit de tout . De tout au tout, je ne m'arrime. Opportunité hasardeuse, de mes touts et des chiens, mes belles,  calfeutrés sur mes belles salut, hein, deja tu sens de lin, de lin, de tout a toi, tabou, mis au rencard et a l'index, mis au bout de cet idée , la brune.. Dans, le bout, jessaye Aïe X. Aïe tabou. Salope.  Sex, t'appelle au bout du téléphone. Savire. Sa ramasse. Sa pelle. Sa pulie. Sa madame, elle est belle, elle est fière, elle mange, elle ramasse, elle calfeutre. Julie, sa famme , jamais elle ne s'attarde , débarrasse le plancher; la nombre il s'est dépassé, autour de la flaque, , il ne s'étend guère que jusques au lac d'obsidienne, jusques au lac sale, au lacdo, au sac à poil, au saco, mano a sarko, reagissez bande de crevettes sales au sieiux desquels vous avez réagi a cela, ma mère est dacc, ok, mange ta pizza , matelot, tu  seras au plus près des cieux, au plus près des cieux , au plus près des cieux.... Flêche empoisonnée à travers le coeur, tu gémis déjà, je meurs, je suis au plus haut des cieux, fais doncgaffe, Matthieu,.. ne régais donc-pasàpatou.. Donc tu files, ici est bien là, Ou ça, je ne sais pas, je sus ivre de colère , ivre de rage et de courroux, et de bien d'autres choses encore, comme celle-là, ma miséricorde et ma compassion s'éeignent en commisération. lol. Puit de science, divin, l'effroi, soudain, me prend, il vit , cc'est un petit homme, un petit de siurhomme, la sagesse en lui. Grande est la vie, grande est là vie grande est la mort d'effroi encore. Petit d'omme a poussé , mais pasgrandi en lui. Il n'y a que peur, d'arfour  1 bataillon tué.. petit d'homme a été mangé, peut être même qsu'il a mangé lui-même. Peut-être seulement..

Je suis vaivante, s'écria-t'elle ! Dans sa maison, le petit écureuil place le chocolat des le papier allu. Gamineries, s'écrient les belettes ses voisines. Il  a quelqu'un qui a couché dans mon lit, se dit-il. Germinal, répondent les jeans. Festoiement d'invités insomniacs à la mort-moi le noeud. Sa mère  n'a pas youché à un homme depuis deux ans, uniquement par crunchage. C'est l'automne, une saison où il est censé faire beau. Dégazage sauvage. Futilités d'enfant trop sage.. Des folies se perdent des braches à la cîme des arbres en fleurs. Guerroiement d'invités. Du sac à dos au milieu d'un ressac, les libellules cantarides veulent à tout prix ssemer d'un bas nylon la fièvre quand vient au rivage le soir , la moiteur et l'amertume. Fête de libellule, fièvre de noir, envie d'un soir. Doucement, se regardent les mirlitons entre eux  et ci on faisait des verts. Des rouges et des bleus ce soir. Si on faisait l'envie qu'on a, de passer de l'autre côté du miroir et regarder o se trouve l'idiomatique folie, la veine décerebrée dont tous les hommes se fondent en plein dans le mille. Fête aussi d'invités îvre de cette folie pure, enfantée par la folie elle-même. Des souvent, pas sage , des animaux près, des anomaux loin des guitarres des cigales cantarides où se trouvent l'envie et la folie. Dans ces eaux peu profondes, ne s'étanchent aucune soif et nie le petit gendarme, aucune passion. Loin s'en faut . Gerre d'étrangers. Faim de pourcaux. Finalisation : Aucune raison. J'ai longtemps désiré la petite. J'ai explosé la grande. Passion d'un soir, folie douce. Les coups de butoir de cette hommelette ne s'arrangent pas au sortir de lendemains torrides.  Femme par passion, mère par obligation , seur si l'adorée d'un soir a daigné vous répondre,.. Gazette signant d'un râle vengeur l'ignorée d'un soir, la vendetta profonde, le signal revendicateur, la finalité finalisante de cet homme là. Je ne suis pas de ce bois là, je ne suis pas en bois, je souffre de ce dont vous souffrez là, je suis un peuplier, ventripotant et fait meuh-meuh. Guette a l'orée, décide at the edge, pense souffrir et suouffre que ta pensée ne puisse accèder à son armoire..qu'elle se remeurrevivre en dépit de la mort, si ce n'est que celà te rendra chèvre et sans idée préconcue, s'entend. Je passe de l'autre côté, pour une fois. Je sors de ce côté et je marque ces remords abvec le sceau de la gloire et non pas celiu de l'igonminie. Il est mort le petit homme au cheveux gris, se dit le petit écureuil, il a vécu pourtant, du haut de son mètre soixante dix hhuit, il sourie désormais sans fausse bonne raison, qu'il sache que je l'aime et que si je ne peucx pas le trouver . quoi qu'il en soit je le trouverais néanmoins.en moins, je suis en homme, toiz aussi, non ? Cette étampe me regarde. Elle me truve beau dans mon short en jean qui n'a plus d'âge, qui n'a plus de prix, ni de couleur. Dance, dance, autour de la terre et marche au soleil, mange une cômette et lit sur la Eiffel Turm de ta vie. Les déjeuners est froid, nevertheless.. Il ne peut plus dancer, petit écureuil, tourne boule loin de ton sac ami, ton sac amant ton sac aimé et mes petirts doigts de pieds se détendornt ils se feront paix et éluderont le paon souverain Personne n'a mangé ici, personne ne mangera non plus, là-bas. Je ne suis pas un camembert coeur de lion, je ne suis qu'un homme. NT